4 octobre 20196 octobre 2019 Résidence artistique
6 octobre 2019
17h00à18h00 Représentation publique
Crédit photo : Lina Bolognesi

Hélène Breschand musique : harpe et voix / Odile Azagury : danse / Philippe Quillet : lumières

Danse, harpe et lumière

Représentation publique dim 6 oct 17H en partenariat avec Poitiers Jeunes et le festival Les Expressifs.

Salle Galilée // Entrée libre // Billetterie auprès de l’accueil des Expressifs

Dans le cadre du Festival Les Expressifs et en coproduction avec Poitiers Jeunes, Pandore est  un prétexte, une source, un questionnement sur la nature de l’homme. A chaque fois que nous ouvrons la boite de Pandore, tous les maux de l’humanité s’échappent sauf l’espérance ; la curiosité a fait place à la sagesse, la sagesse à la liberté.

Pandore est un prétexte , un appui , une source , un questionnement sur la nature de l’homme
Se frotter à l’inconnu , à l’autre , à sa peau , aux mots , à la poésie , à l’instant présent
A chaque fois que nous ouvrons la boite de Pandore , tous les maux de l’humanité s’échappent sauf l’espérance , la curiosité à fait place à la sagesse , la sagesse à la liberté
C’est à travers une performance , unique à chacune de ses représentations comme à chaque fois que nous ouvrons cette boite , une histoire différente se crée , interrogeant par la musique , les textes , la danse et la lumière , le phénomène de la mutation : mutation de la vie qui se frotte à la répétition qui n’en n’est jamais une , mutation qui se frotte à l’expérience , à l’expérimentation.
Il s’agit ici de peau , de poésie , de poésie mobile , qui s’écrit à l’intérieur de soi et sur la peau
A travers tatouages et plis , chaque vers possède le don de nous transformer nos vies , nos peaux , nos mots comme autant de palimpsestes.

 

 


 

Posted by ptreguer