2 mars 2023 | ||
20h30 | à | 22h00 Concert |
© Tombés du Ciel
Concert narratif
JEU 2 MARS 20H30 // Planétarium // Plein tarif : 7 € ; Tarifs réduits : 4 € ; Joker : 3,50 € sur réservation ICI
En coproduction avec l’Institut des Afriques (Bordeaux), et en lien avec l’université de Poitiers, le laboratoire Migrations internationales : espaces et sociétés (Migrinter), et le pôle Sciences et société de l’ Espace Mendès France
Faïza Kaddour : texte, jeu, chant et conception / Jean-Luc Bernard : batterie, percussions / Jean-François Toulouse : mise en espace
Décédée en 1997, Colette Magny a laissé au patrimoine de la Chanson Française une œuvre capitale, pionnière artistiquement à bien des égards, utile et nécessaire par son engagement, et exemplaire d’humilité humaine, d’honnêteté intellectuelle, dont pourtant à ce jour l’envergure n’est que rarement évaluée à sa juste mesure.
« C’est par le biais narratif d’une pièce où s’entrelacent récit historique et considérations militantes, interprétations de chansons et dialogues imaginaires entre la comédienne et la chanteuse, que Faïza Kaddour, prêtant sa voix à la gouaille de Colette Magny, raconte et fait revivre avec poésie une époque, une artiste, le sens d’une vie, la pertinence d’un propos aux résonances terriblement actuelles, dans un spectacle vif, drôle et attachant qui interpelle, bouscule et attendrit chaque spectateur ». Le blog du doigt dans l’oeil.
Concert précédé par une table ronde sur une histoire culturelle des musiques avec Naïma Huber Yahi, historienne, spécialiste de l’histoire culturelle des maghrébin·es en France et Armelle Gaulier, docteure en science politique et ethnomusicologue, laboratoire LAM, universités Bordeaux et Bordeaux Montaigne.
Dans le cadre de la programmation 2022-2023 du cycle « Migrations internationales et lutte contre les discriminations » qui propose de poursuivre la réflexion amorcée lors de la précédente édition autour des arts et des migrations.
En mettant en dialogue artistes et scientifiques, nous invitons à interroger la manière dont la circulation des idées, des images, des personnes et des objets façonne les imaginaires artistiques. Le langage artistique peut aussi se transformer en espace de résistance et revendication, être libérateur et moteur des luttes.
Le cycle 2022-2023 répond à ces questions en proposant des modes de discussions variés : rencontres, projections, spectacles entre arts et sciences.
En partenariat avec le laboratoire Migrations internationales : espaces et sociétés (Migrinter) – CNRS, université de Poitiers et l’Institut des Afriques.
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